De jeunes viticulteurs s’installent, profitant d’un prix du foncier encore très accessible, sur des terrains permettant un encépagement plus adapté au changement climatique.

Pas de chance, pour une question mal comprise, l’angevine Pascaline Lepeltier n’a pu accéder à la finale du concours du meilleur sommelier du monde. Elle termine à la 4e place, ce qui est déjà un exploit au regard de l’extrême difficulté de l’exercice, concernant non seulement la connaissance des vins mais aussi des alcools, des thés, des cafés, leur présentation et leur association avec les mets.

La flambée des crus de la Côte d’or nous incite à rechercher des appellations moins prestigieuses et plus accessibles. La côte châlonnaise mérite votre attention. De nombreux domaines de Mercurey, Rully, Givry et Montagny proposent de très beaux Pinot noir et Chardonnay dans une gamme comprise entre 15 et 30 €.

Pour résoudre la surproduction, des centaines de vignerons prônent une réduction du vignoble et demandent à l’État un plan d’accompagnement.